Quiz Pablo Escobar : Connaissez-vous bien l'histoire de ce criminel notoire? | Le Sac de chips
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Quiz Pablo Escobar : Connaissez-vous bien l'histoire de ce criminel notoire?

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Tout comme d’autres personnages qui ont laissé leur marque dévastatrice sur l’histoire, Pablo Escobar est un homme qui fascine les gens et suscite l'indignation.

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Si son histoire a été contée à maintes reprises, très peu de gens en ont eu un accès aussi intime que deux Québécois. Dans le documentaire Pablo raconté par son fils produit par Éric Hébert et réalisé par Olivier Aghaby, le fils et la veuve du narcotrafiquant se confient de manière inédite.

Une vidéo qui revient sur les origines du projetdiffusé sur le Collectif Vidéotron, dévoile l'incroyable démarche qui a permis aux documentaristes d'obtenir les confidences des proches d'Escobar.

Les propos recueillis par le Collectif Vidéotron démontrent l’ampleur du défi qui attendait les cinéastes. Juan Pablo Escobar, qui se nomme désormais Sebastián Marroquín, n’allait pas laisser quiconque l’aider à faire la lumière sur son récit familial. 

Le Collectif Vidéotron

 

Avec tous les mythes qui entourent Escobar, saurez-vous démêler le vrai du faux ?

 

Quiz
Question #1
Selon les estimations avancées dans le documentaire, au sommet de sa carrière criminelle, quel montant les opérations de Pablo Escobar pouvaient-elles lui rapporter par semaine ?

50 à 70 millions $

5 à 7 millions $

50 à 70 millions $
On rapporte qu’il avait tant d’argent liquide qu’il peinait à trouver des endroits pour l’entreposer.
Question #2
En plus de ses nombreuses résidences luxueuses, qu’est-ce qu’a fait construire Escobar ?

La tour Escobar de Medellín et le plus grand centre commercial d’Amérique latine.

Des maisons pour les moins fortunés et un stade de soccer.

Certains le considèrent comme un Robin des bois
Ces actions ont contribué à faire de lui un héros populaire aux yeux d’une partie de la population colombienne. Dans le documentaire, on voit Sebastián visiter des boutiques qui vendent encore des produits à l’effigie de son père.
Question #3
Que pouvait-on retrouver sur l’immense terrain d’une de ses résidences ?

Une piste d’atterrissage, un zoo et un parc jurassique avec des statues grandeur nature de dinosaures.

Une salle d’entrainement de lutte olympique pour l’équipe nationale, un chapiteau de cirque et un cinéparc.

Même des dinosaures!
L’équipe de documentaristes accompagne Sebastián qui revisite les lieux où il a passé son enfance.
Question #4
Quand Pablo Escobar a rencontré Maria Victoria Henao qui allait devenir sa femme, quelle était leur différence d’âge ?

Il avait 24 ans et elle en avait 13.

Il avait 30 ans et elle en avait 17.

Sa famille désapprouvait la relation
Dans le documentaire, la veuve d’Escobar affirme qu’il était très charmant et que c’est son sourire qui l’a fait tomber pour le criminel.
Question #5
Sebastián, le fils d'Escobar, affirme que Pablo l'a instruit à faire cela s’il se faisait attraper par les ennemis de son père.

Dévoiler l’emplacement d’une maison de campagne où se cachaient 100 millions $.

Se suicider pour éviter la torture.

Une guerre sans merci
Dans le documentaire, Sebastián explique que son père lui avait montré la façon la plus efficace de prendre sa propre vie avec une arme à feu.
Question #6
Lequel de ces stratagèmes Escobar aurait-il utilisé pour exporter sa marchandise aux États-Unis ?

La cocaïne était injectée dans des bananes plantains.

Il empreignait des jeans de cocaïne liquide.

Un pas en avance sur les autorités
À la réception, on extrayait la cocaïne des jeans à l’aide d’une solution.
Question #7
Comment aurait-il réagi quand ce subterfuge fut déjoué par les forces de l’ordre américaines ?

À la place des jeans, ce sont les boîtes de carton les contenant qu’il empreignait de cocaïne.

Il s’est associé avec le cartel de Cali qui avait de meilleures relations avec le FBI.

Le contenant devient le contenu
On rapporte que cela lui aurait permis de déjouer les autorités à nouveau.
Question #8
Selon Sebastián, son père n’est pas mort assassiné par les forces de l’ordre tel qu’on l’a rapporté. De quelle façon est-il mort selon lui ?

Il s’est suicidé avec son arme à feu lorsqu’il fut pris au piège par un autre cartel.

Il a fait une overdose de cocaïne dans l’appartement où il se cachait.

Une version plausible?
Si Sebastián affirme tenir mordicus à ne pas glorifier son père et reconnaît la gravité de ses crimes, il croit tout de même que plusieurs faits rapportés par les autorités ne sont pas véridiques.
Question #9
Quelle était la drogue de prédilection de Pablo Escobar ?

On dit qu’il consommait de grandes quantités de cocaïne depuis l’enfance.

Il était un grand amateur de cannabis.

Un homme de contradictions
Escobar aurait été un grand amateur de marijuana, mais on rapporte qu’il ne consommait pas de cocaïne et ne tolérait pas qu’on l’utilise dans son entourage.
Question #10
Après la mort d’Escobar, une toile de cet artiste aurait été reliée à la négociation entre sa veuve et les autres cartels.

Dali

Picasso

In extremis
Le documentaire fait part de la façon dont la mère de Sebastián a obtenu la « clémence » des anciens compétiteurs de son défunt mari.
Question #11
Malgré le fait que son père était l’ennemi public #1 des États-Unis, Sebastián a tout de même visité cette ville américaine avec sa copine lorsqu’il avait 14 ans.

Las Vegas

San Francisco

Deux ans avant la mort de Pablo Escobar
Le fils du narcotrafiquant affirme avoir dépensé des centaines de milliers de dollars durant son court séjour.
Question #12
Maintenant qu’il vit en Argentine, comment Sebastián s’occupe-t-il ?

Il est acteur de téléroman et fait du stand-up.

Il est architecte et travaille à la promotion de la paix.

Un homme bien différent
Si son apparence physique peut évoquer celle de son père, le Sebastián qu’on découvre dans le documentaire est un homme aux antipodes du narcotrafiquant.
Question #13
Quelle raison aurait poussé Sebastián à faire affaire avec des Québécois pour dévoiler son histoire ?

Son père était un grand amateur des documentaires de l’ONF.

Il croyait que l’équipe de production québécoise était digne de confiance.

Une relation de confiance soigneusement entretenue
Sebastián n’avait guère apprécié ce qui avait été rapporté dans les ouvrages de fiction et les documentaires précédents, entre autres ceux produits par des Colombiens et des Américains. En choisissant Hébert et Aghaby, il a affirmé « J’ai un profond respect pour les Canadiens, que je trouve intègres et sans préjugés. C’est très important pour moi de m’entourer de gens comme ça. Je tiens à diffuser un message responsable à ceux qui m’écoutent ».

Avec des projets comme le retour sur les origines du documentaire « Pablo Escobar raconté par son fils », le Collectif Vidéotron crée des moments et des histoires uniques, en utilisant ce que la technologie a de meilleur à offrir. Visitez son site pour en savoir plus et découvrir les autres histoires du Collectif Vidéotron !

Vous pouvez visionner les deux épisodes du documentaire en exclusivité sur club illico