[PHOTOS] À 61 ans, elle donne naissance à sa propre petite-fille | Le Sac de chips
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[PHOTOS] À 61 ans, elle donne naissance à sa propre petite-fille

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Photo Facebook Ariel Panowicz Creative

Une femme de 61 ans prête à tout donner pour rendre son fils heureux lui a offert son ventre, pendant neuf mois, afin qu’il puisse lui aussi connaître les joies de la parentalité.

Matthew Eledge et Elliot Dougherty, deux hommes mariés du Nebraska, ont bénéficié de la grande générosité d’une mère et d’une sœur pour pouvoir devenir parents à leur tour. «Nous avons des femmes altruistes dans nos vies!» a déclaré l’heureux papa Matthew Eledge au USA Today.

La mère de Matthew, Cecile, a porté l’enfant à naître, et la sœur de Elliot, Lea, a offert l’ovule qui a été fécondé in vitro avec le sperme de Matthew.

Le petite Uma Louise est finalement venue au monde la semaine dernière dans un centre médical du Nebraska. En pleine forme, elle pesait 5 livres et 13 onces.

La nouvelle grand-mère raconte qu’elle a d’abord offert, un peu à la plaisanterie, de servir de mère porteuse à son fils et son conjoint. Puis à sa grande surprise, elle a passé les tests physiques haut la main, ceux vérifiant notamment l’état de son cœur, son taux de cholestérol et son niveau de stress.

À tout moment, Cecile Eledge s’attendait à ce que les médecins s’opposent et lui disent qu’elle n’était pas faite pour porter un enfant. «Mais les spécialistes m’ont dit qu’il n’y avait absolument aucune raison pour que je ne me rende pas à terme», a-t-elle lancé.

Photo Facebook Ariel Panowicz Creative

Elle raconte avoir été encore plus prudente que lors de la grossesse de son fils Matthew, il y a 32 ans, pour lequel elle n’avait pas coupé le café. «Je me serais sentie tellement mal si quelque chose était arrivé... J’ai suivi les consignes à la lettre! Vous savez, je l’aimais, mon café!» a-t-elle illustré à la blague.

Les nouveaux papas déclarent qu’avec leurs salaires -  l’un est enseignant, l’autre est coiffeur -, ils auraient difficilement pu acquitter les frais engendrés par le don d’ovules et l’embauche d’une mère porteuse. Ils considéraient également le processus un peu trop froid et clinique.

«Nous croyons que ça prend un village pour élever une famille. Nous avons choisi une approche non conventionnelle, mais nous avons été capables d’en parler pendant toute la procédure et ça a rendu la chose tellement plus excitante et plaisante!» a confié Matthew.