Debbie Lynch-White explique avec humour pourquoi ça lui aura pris 17 heures revenir de New York

Debbie Lynch-White a vécu toute une série de rebondissements la nuit dernière, alors que son voyage à New York pendant le long week-end, avec sa conjointe et la grand-mère de cette dernière, est loin de s'être terminé comme prévu.
Armée de «patch» anti-cernes sous les yeux et avec la voix un peu raque, la comédienne s'est rendue tôt ce matin dans les studios de Rythme FM pour sa chronique hebdomadaire à l'émission Jamais trop tôt, pour y raconter sa série de mésaventures et surtout, pourquoi le trajet du retour aura pris un total de 17 heures.
Le trio a quitté New York vers 10h lundi matin, et c'est alors qu'elles étaient rendues à seulement trois heures de Montréal que leur malchance a débuté.
«Avant le départ, j'avais fait tout vérifier la voiture, changer les pièces, tout était beau. Tout était parfait. On part à 10h hier matin, on roule, on roule, on roule, et un moment donné, on est à trois heures de Montréal à peu près, et la voiture se met à faire des sons bizarres, ça se met à freiner de façon saccadée. Là on fait ''Voyons, kessé ça?''. Le check engine se met à flasher. On se met sur le côté. Là on se dit: ''Ok, il faut faire quelque chose!''. Là, fais des appels, fais des appels. Finalement, on se fait remorquer dans un concessionnaire qui est à une demi-heure, mais qui ferme dans une demi-heure. T'sais, ben relax! On a fait un tour de remorqueuse avec un charmant monsieur, on embarque. Écoute, on riait là! Faut le dire, on riait», a mentionné Debbie Lynch-White.
Les trois femmes n'étaient pas au bout de leur peine: prises dans le petit village de Glens Falls, aucune voiture n'était disponible pour la location. Or, Debbie devait être présente mardi matin à la radio, et Claire, la grand-mère de son amoureuse, avait un vol à attraper à 6h30 mardi matin. Heureusement, elles ont réussi à trouver un autobus voyageur se dirigeant vers Montréal... mais ce dernier ne passait qu'à 23h. Elles ont dû passer le temps en «niaisant» dans divers restos du coin.
«Et là finalement, à 11h, le bus arrive, mais là, faut aller porter Mémé à l'aéroport. Et là on n'a pas d'auto, l'auto est aux États-Unis. [...] Fait que finalement, arrive à 3h à Montréal, notre amie Viviane, que je remercie, nous a laissé ses clés d'auto dans sa boîte à malle. On est allées chercher le char. 3h30, va chercher le restant de bagages à la maison de Mémé. Saute dans le char, 3h40. 4h15, à l'aéroport. Mémé, prête à partir. On revient à la maison, petite sieste, and here I am!», s'est exclamée Debbie, tout sourire.
OUF!
On lui souhaite maintenant bonne chance pour aller chercher sa voiture et la facture qui vient avec.
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